Massalia Délire

on going

« Marseille est faite de tonalités relativement atténuées [...] Ce qui fait la différence dans ce paysage, c’est le temps, la lumière des saisons et des heures de la journée qui font briller ou pâlir, foncer ou blanchir la mer comme les bâtisses. Si bien que Marseille ne se donne pas instantanément comme sa légende d’extraversion le ferait croire. On la mérite somme toute, en variant les points de vue, les jours et les heures. »

RONCAYOLO Marcel, Marseille, Les territoires du temps, 1996, Paris, Editions locales de France, p. 134.

Cette série au long-court est constituée d’images glanées ces 10 dernières dans les rues de Marseille. J’ai tenté de capturer sa lumière et son énergie folle grâce à mon compact 28 mm et de mon flash parfois, comme s’il fallait reprendre le contrôle de ce délire total.